Les deux jeunes sorcières venaient juste de rentré dans le bureau de Dumbledore : vide, enfin presque, elle dire bonjour au Choipeau et à Fumseck.

-Tu pense qu'il ne va pas tarder? demanda Maloria qui venait de s’asseoir sur la chaise derrière le bureau de papy Dumby.

-Oui je pense, Chourave a dit que cela faisait déjà une heure qu'il était parti a Pré-au-Lard. Répondit la blonde qui s’assit sur l'accoudoir à côté de sa sœur.

-Tiens quand on parle du loup je l’entends qui monte.

Ce dernier entra dans son bureau il alla saluer Fumseck sans remarquer la présence des jumelles qui étaient restée là où elles s'étaient installée avant son arrivée. Maloria était légèrement penchée sur le bureau, le coude dessus et les mains croisées supportant sa tête où un sourire carnassier s'était peint à l'arrivée de Dumbledore. Angélica elle, se tenait assise sur l'accoudoir le même sourire que sa jumelle peint sur les lèvres.

-Bonjour Albus! Dit la brune alors que ce dernier c'était retourner vers elle

- Comment vas-tu ? Cela faisait un moment... Ajouta la blonde qui ne pouvait s'empêcher de sourire, tout comme sa sœur, face à la tête que faisait le vieux.

Je revenais tout juste d'une course à prés-au-lard. Il faisait encore bon, la rentré était programmé pour le début de la semaine prochaine. Tout allait bien, et l'école pouvait enfin accueillir le jeune Harry, j'étais heureux. Tout allait pour le mieux et ma culpabilité de l'avoir laisser chez sa tante allait s'évanouir pour de bon.

Je gravissais lentement les marches et les étages, me rapprochant toujours plus de mon bureau. je m'imaginsais déjà assis à mon fauteuil en train de déballer un délicieux bonbon au citron. je donnais le mot de passe à ma gargouille et continuais de monter lentement mes escaliers. Il flottait dans l'air une étrange odeur de fleurs exotiques, mais je n'y fis pas attention et déposais ma cape au porte-manteaux. je saluais Fumseck comme à mon habitude et me tournais en direction du bureau.

-Bonjour Albus!

- Comment
vas-tu ? Cela faisait un moment... je sursautais. Deux petites filles se tenaient derrière mon bureau, je ne savais pas du tout qui elles étaient. La première avait les cheveux noirs et très longs, retenu par une rose rouge. celle sur l'accoudoir lui ressemblait énormément mais avait les cheveux blond noués avec un lys. Elles m'inspiraient confiance, et en même temps, crainte, c'était étrange...

-puis-je savoir comment et pourquoi vous êtes ici?

-je te l'avais dis Angie, Il nous a pas reconnus! s'exclama la brune à la blonde, j'étais completement éffaré, devais-je les reconnaitre?

-ouaip, j'aurais espéré qu'il ait une meilleure mémoire que nous, mais là... franchement ça me dépasse Maloria...

Maloria? Angie? Bizarrement, ces noms me sont familiers, j'ignore pourquoi, la vision de deux femmes vêtue comme des reines me vient à l'esprit...

-ouaip, j'aurais espéré qu'il ait une meilleure mémoire que nous, mais là... franchement ça me dépasse Maloria...

Maloria? Angie? Bizarrement, ces noms me sont familiers, j'ignore pourquoi, la vision de deux femmes vêtue comme des reines me vient à l'esprit...

-Je suis très triste tu ne te souviens pas de nous Papy Dumby, snif snif. Se lamenta la brune en faisant semblant de pleuré sous le regard de sa sœur.

**Les seuls personne à m'appeler comme cela sont: Maloria déesse de la Destinée et Angelica déesse de la Magie** C'est la pensé que Maloria venait d'entendre, alors qu'elle s'était glisser dans son esprit pour savoir a quoi penser le vieux, quand ce dernier ouvrit grand la bouche en s’en faire tomber la mâchoire par terre et l’on aurait dit que ses yeux allaient sortir de leur orbite...

-Tu as dit dis quelque chose qui l’a fait se souvenir? Demanda la blonde qui paressait clairement amuser par la tête de 6 pieds de long que tirait le vieux.

-Oui il vient de se souvenir de qui nous somme... Au final j'ai bien fait d'oublier d'envoyer la lettre, on aurait loupé le spectacle qui s'offre à nous en ce moment même. Dit la brune qui venait de se coller confortablement au dossier du fauteuil sur lequel elle était assise.

-M... M... Mais que faite vous ici Mesdemoiselles? Réussit à articuler Albus Dumbledore visiblement sous le choc de voir les deux jeunes filles derrière son bureau.

-M... M... Mais que faite vous ici Mesdemoiselles? Réussit à articuler
Albus Dumbledore visiblement sous le choc de voir les deux jeunes filles
derrière son bureau.

Angelica n'arrivait plus à se défaire de son fou-rire, et chaque fois qu'elle réussissait à reprendre son souffle, une nouvelle quinte, causait par le visage de Dumbledore, revenait la hantait.

Celui-ci était ahurit, évidemment, il était rare que les deux déesses quittent leur palais pour venir sur terre, et bien qu'il les ait déjà rencontrer dans sa jeunesse, jamais il n'avait pensé pouvoir les retrouver.

-Bien, comme tu as pu le constater, nous avons rajeunis, et cela, pour pouvoir étudier à Poudlard! claqua finalement la blonde avec le retour de son sérieux.

Le dernier mot resonna longtemps dans la pièce, puis, un silence pesant le remplaça. Dumbledore, les yeux bleux, habituellement pétillant de malice, étaient aussi gros que des boules de billard, et sa bouche menaçait bel et bien de se décrocher. Il en lâcha par ailleurs sa baguette, et un juron s'échappa même de ses lèvres.

-C'est une blague? parce que franchement j'ai bien cru que j'allais mourir avant la rentrée! s'exclama le vieillard, les visages devenus impassible et sérieux des deux sœurs le laissèrent pantois, depuis quand étaient-elles aussi silencieuse? Par Merlin ce n'est pas une blague? Maloria hocha négativement. Mais... enfin... vous n'avez rien à apprendre, vous êtes... Nos déesses pardi!

-Enfin, Dumby, nous avons bien le droit de vouloir étudier!

-et puis, nous ne sommes pas là que pour ça...

-Bien... il souffla un bon coup, se massa l'arrête du nez et s'assit en face des jumelles. Puis-je au moins savoir ce qu'il va nous arriver comme cataclysme?

-Évidemment que... commença la brune

-non... termina la blonde. seulement après l'inscription à Poudlard, après on verra...

-Évidemment que... commença la brune

-non... termina la blonde. Seulement après l'inscription à Poudlard, après on verra...

-Bien! bien, de tout marnière ai-je le choix? demanda Papy Dumby en se pinçant toujours l'arrête du nez.

-Euh… Laisse-moi réfléchir… recommença Maloria en mettant une main sous son menton et en faisant mine de réfléchir. Non! Finit-elle par claquer d'un ton sec et froid.

-Alors, que vas-tu faire? demanda donc Angelica à la suite de sa jumelle.

-Alors... Et bien… étant donner que je n’aie pas le choix... débuta le vieux directeur en s'asseyant sur un chaise qu'il venait de faire apparaître devant son bureau. J’accepte votre inscription à Poudlard Mesdemoiselles!

-Et nous laisser faire ce que bon... Commença la blonde.

-Nous semble? Finit la brune.

-Et vous laissez faire de que bon vous semble… soupira, contrit, le Directeur ayant trop peur de contrarier les deux jeunes déesses.

-Youpiiii! Crièrent les deux jumelles en cœur, les bras en l'air faisant le signe de la victoire.

-Mais a une condition! Le sourire des jumelles se fana instantanément. Que vous ne mettiez pas la vie des élèves en danger et que vous me fassiez part de vos agissements, quels qu’ils soient. Ajouta-t-il en ignorant le regard noir des deux sœurs.

-Nous ? Mettre la vie d'élèves en danger ? S’exclama la blonde indignée.

-C'est mal nous connaitre Albusounerchérie! Ajouta la brune. En plus cela serai inutile puisque tu sais toujours tout ce qui ce passe dans ce château…

-C'est pas faux, mais je sais que vous trouverez toujours un moyen pour que je ne vois pas ce que vous ne voulez pas que je vois. Alors promettez-le-moi. Demanda le dirlo avec un regard suppliant.

-Bien! Répondirent les jumelles en cœur après s'êtres échanger un regard emplie de malice.

-Cela étant réglé. Puis-je récupérer mon fauteuil? Tenta-t-il.

-Non. Répondit la brune et si installant un peu plus confortablement alors que sa sœur s’appuyait contre son épaule.

-Bon, puis-je au moins savoir la raison pour la quel vous êtes parmi nous Mesdemoiselles?

J'admets que revoir les déesses du destin et de la magie m'a assez surprit, puisque la dernière fois que je les avaient croisés, c'était lorsque j'étais encore un tout jeune sorcier, pour dire, je n'avais à cette époque que 32 ans. Il est vraie que le fait de les voir ici ne devrait pas être une surprise, notre monde est tout de même le royaume que leur mère à créer pour elles à leur naissances, mais la dernière fois qu'elles sont apparues, c'était pour me prévenir de l'arrivée d'un mage noir, l'arrivée de Grindelwald. Et le fait que Harry Potter démarre cette année à Poudlard pouvait très bien signifiait une nouvelle catastrophe. je n'étais pas rassurés, surtout qu'elles m'avaient forcés à les inscrire, elles voulaient donc être directement sur le front, à moins que cela ne soit un jeu? comment pouvais-je le savoir?

"sincèrement, que faites vous ici mesdemoiselles?" elles me sourirent comme les deux folles qu'elles sont.

"évidemment, tu ne peux pas rester ici sans savoir..."

"la curiosité est un vilain défaut, papy Dumby!" répliqua la brune.

"Dois-je vous rappelez que c'est vous qui m'avez apprit à agir ainsi?" insistais-je. La blonde me lança un regard noir, et je ne pus m'empècher de frissonner.

Qu'allaient elles vouloir faire ici? Un danger était-il en approche? ou alors étaient-elles là pour surveillez l'élu de la prophétie? cela expliquerai donc que le pouvoir que le seigneur des ténèbres ignore serait- la confiance des Déesses? Je sais que les jumelles ne sont jamais là par hasard, mais pourquoi à Poudlard, et surtout, pourquoi maintenant? Pourquoi ne pas être venue plus tôt pour aider les Potter?

"je suis sur que vous avez une très bonne raison, et je suppose qu'elle concerne le jeune Harry" dis-je finalement.

"Harry Potter" commença Maloria

"Le garçon qui à survécu" reprit Angelica

"Notre petit protégé, en effet..."

"avait besoin de nous, après tout, nous sommes une grande"

"famille..."

Je ne pus avoir d'autre réponse, qu'elles me lançaient des signes d'au revoir et disparaissaient dans un flash. je restai là, bras balant devant mon bureau, décidément, Ces Déesses n'auront jamais cessé de me surprendre. Une minute, comment ça une grande famille? j'ai due rater une page là, non?